“Lafarge négocie avec Daesh mais pas avec ses salariés”,
pouvait-on lire sur une banderole, site du Teil.
Le mouvement, entre le 27 février et le 5 mars, a été particulièrement suivi :
huit sites en grève, et 60 à 70 % des employés du site du Teil mobilisés.
Tout notre soutien aux salariés de Lafarge pour ce mouvement passé
et surtout pour les futures colères !